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Synopsis : Moscou, au début des années 80, en pleine guerre froide. Sergueï Grigoriev, colonel du KGB déçu du régime de son pays, décide de faire tomber le système. Il prend contact avec un jeune ingénieur français en poste à Moscou, Pierre Froment. Les informations extrêmement confidentielles qu’il lui remet ne tardent pas à intéresser les services secrets occidentaux. Mitterrand lui-même est alerté et décide d’informer le président Reagan : un gigantesque réseau d’espionnage permet aux Soviétiques de tout connaître des recherches scientifiques, industrielles et militaires à l’Ouest ! Les deux hommes d’Etat décident d’exploiter ces données ultra sensibles transmises par une mystérieuse source moscovite que les Français ont baptisée : « Farewell ». Homme sans histoires, Pierre Froment se retrouve alors précipité au cœur de l’une des affaires d’espionnage les plus stupéfiantes du XXème siècle. Une affaire qui le dépasse et qui menace bientôt sa vie et celle de sa famille.

Notre avis : Ambiance « guerre froide », paranoïa, manipulations, atmosphère parfaite, mais un film basé plus sur la vie des personnages que sur l’affaire elle-même, ce qui nous laisse un peu sur notre faim.  Pas d’action dans ce film, peu de suspens, et un scénario pas toujours captivant. On ne s’ennuie pas, mais c’est un peu juste.

Notre note : 13/20, entre autres pour l’excellent tandem Kusturica/Canet.

Synopsis : Max est un coach renommé qui accumule les succès professionnels. Mais c’est aussi un joueur invétéré qui a des dettes colossales. A bout de patience, sa femme le quitte. Pris à la gorge par ses créanciers, Max accepte un contrat qui peut le sauver : Coacher à son insu Marmignon, un directeur très singulier qui semble être le pire coaché imaginable.

Notre avis : Une bonne idée de départ, mais qui aurait mérité d’être mieux exploitée, tant au plan de la réalisation que du scénario. Résultat : Quelques situations donnent l’impression d’être bâclées. Mais heureusement, le tandem des deux personnages principaux fonctionne très bien. De l’humour, de la tendresse, quelques touches d’acidité : finalement, une bonne distraction, malgré les regrets.

Notre note : 12,5/20 Le personnage principal aurait peut-être dû coacher les scénaristes…

Synopsis : Ambitieuse productrice de talk-show, Abby Richter se targue de pouvoir trouver instantanément une solution à n’importe quel problème. Le seul qu’elle n’a pas réussi à résoudre, c’est son célibat. Lorsque le taux d’audience de son émission faiblit, Abby est obligée d’engager un nouvel animateur soi-disant expert en relations humaines, Mike Chadway. Dans l’émission, celui-ci traite de ce qui plaît vraiment aux hommes. Le choc est rude entre la jeune femme et ce provocateur odieux et macho. Le pire, c’est qu’il fait grimper l’audience et devient incontournable. C’est alors qu’Abby rencontre Colin, son voisin, un chirurgien célibataire qui est tout l’opposé de Mike Chadway. Cette fois, Abby veut mettre toutes les chances de son côté. A contrecoeur, elle fait appel à Mike… Alors que Mike conseille Abby à coups de théories provocantes qu’elle finit par suivre, tous deux découvrent une autre vérité : aussi différents puissent-ils être, hommes et femmes ont en commun certains sentiments.
Notre avis : Le début laisse craindre un film lourd, mais finalement, cette comédie romantique traite le sujet « Rapports hommes-femmes » avec pas mal de subtilité quand-même. Frivolité des personnages, caricature de certaines situations, humour,  ainsi que du romantisme, même si la fin est téléphonée. Le tout parfaitement dosé.
Les interprètes sont parfaits dans leurs rôles, et Katherine Heigl est absolument craquante !
Un excellent divertissement !

Notre note : 15/20 pour cette savoureuse « Abominable vérité ».

Synopsis : Dans un futur proche, la Terre a été ravagée par une grande guerre entre les hommes et les puissantes machines qu’ils avaient crées. Sachant l’humanité condamnée, un scientifique créé 9 petites créatures, fragiles et sans défense à partir d’objets divers ramassés dans les décombres. Incapables de s’opposer aux machines, ils ont formé une petite communauté survivant au jour le jour dans les décombres. Mais le dernier né de cette famille, le Numéro 9 a une mission. Il détient en lui la clé de leur survie et devra convaincre ses camarades de quitter leur refuge de fortune pour s’aventurer au cœur du royaume des machines. Ce qu’ils vont découvrir en chemin représente peut-être le dernier espoir de l’Humanité.

Notre avis : Superbes décors apocalyptiques, ambiance sombre à souhait, et personnage attachants. Mais hélas, le scénario est plutôt plat, sans aucune surprise. Résultat : film nettement moins intéressant que prévu.Vraiment dommage !

Notre note : 13/20