Synopsis : Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d’Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu’il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n’est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers. Bien qu’ils se destinent à mettre le cap sur l’Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d’abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum. C’est là qu’avec Gollum, sur les rives d’un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d’un courage et d’une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le « précieux » anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d’or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s’en doute encore.
Mon humble avis : J’avais aimé la trilogie « Le Seigneur des anneaux », mais là, je suis nettement moins enchanté. Les effets visuels sont réussis, et le sujet me semblait passionnant, mais je trouve le résultat décevant : Manque de rythme, manque de charisme des personnages, des longueurs, quelques bizarreries de scénario. Déjà, dès le départ, je n’ai pas compris pour quelle obscure raison Bilbon Sacquet accepte le matin la « quête » qu’il refusait la veille au soir. Il se réveille, et il accepte, sans aucune raison, à moins qu’à ce moment l’effet anesthésiant de ce film m’ait brièvement endormi et qu’un détail m’ait échappé. J’irai quand-même voir les suites, par curiosité, en espérant être moins déçu.
