Un petit florilège de ce qu’il y a de plus mauvais au cinema en 4 extraits. Affligeant! 
Steven Soderbergh aux commandes de ce film en deux parties sur la vie du révolutionnaire Che Guevarra, aprés Eduardo Noriega qui avait déjà immortalisé le role, c’est Bénicio Del Toro qui s’y colle et il y est plus que crédible. Jugez plutot (pas le chien!) avec cette bande annonce.
Une vision d’apocalypse dans cet extrait de « The day after tomorow (le jour d’aprés) » , New York ravagé par un raz de marée; spectaculaire et réussi !
Dans la lignée de « rec » ou « cloverfield » voici » Quarantine » une nouvelle forme de cinema ultra réaliste à la mode ces derniers temps .
Encore un extrait du » Grand détournement » avec un Charles Bronson en Géronimo et un flegmmatique Henri Fonda. L’enquéte continue sur l’homme le plus classe du monde.
Aprés « Titanic » le couple Kate Winslet Leonardo Dicaprio est une nouvelle fois réunis à l’écran dans « Revolutionnary road » de Sam Mendes dont voici la bande annonce. Préparez vos mouchoirs.
Voici la bande annonce d’un documentaire road movie « J’irai dormir à Hollywood ». Antoine de Maximy fait le pari de traverser les Etats Unis pour aller dormir chez une star de LA. Entre un « Pékin express » (l’émission de M6) et l’excellent « Into the wild » , un voyage touchant à la découverte d’une autre Amérique. 
Une petite parodie pas mal faite d’une scène tirée de « Commando », un des nombreux nanars d’Arnold Schwarzenneger. Ou, quand Freddie mercurie rencontre Schwarzie pour un duo digne de taratata!
Cette semaine , un extrait du film « Le diner de cons » la scène du téléphone entre le regretté Jacques Villeret et Thierry Lhermitte. A voir et à revoir !
Synopsis: Un arnaqueur évite les agressifs. Et encore plus les agressifs armés.
Solal a oublié cette règle. Résultat, il est mort, assassiné par un mauvais perdant.
L’affaire aurait dû en rester là. Mais Solal a un frère : Cash. Et Cash a décidé de le venger. A sa manière. En élaborant une arnaque de haut vol.
Toutefois, l’adversaire est sur ses gardes. Et Cash et ses amis se sont peut-être attaqués à plus fort qu’eux… Dans ce genre d’opération, les alliances se font et se défont, les complices sont parfois des traîtres et les traîtres des complices. A la fin, une seule chose compte : qui est le pigeon ? (allocine)
Notre avis : On vous le dit cash, il n’y a pas grand chose à garder de ces arnaques tarabiscotées, on y perd son latin ! Le film veut surfer sur la vague d’illustres prédecesseurs que sont »L’arnaque » ou « La couleur de l’argent » mais les manipulations manquent ici et de simplicité de subtilité. Le naufrage est évité de justesse grace au charisme de Jean Dujardin et d’Alice Taglionni. Un film à oublier bien vite.
Notre note : 8/20 Le « Ocean eleven » du pauvre.
